Il est temps de dire #LIntimidationCNon
Un étudiant sur quatre aux États-Unis et un adolescent sur trois au Canada signale avoir été victime d'intimidation. Ce nombre peut être de deux à trois fois plus élevé pour les enfants vivant avec des cicatrices ou de handicaps visibles, selon le National Center for Education.
Les études démontrent également que la plus grande partie de l'intimidation n'est jamais dénoncée et peut entraîner de la dépression, de l'anxiété, un faible rendement académique et même le suicide.
Comme la plupart des patients des Hôpitaux Shriners pour enfants ont des cicatrices ou des handicaps visibles, l'intimidation est malheureusement un problème fréquent chez les enfants et les adolescents que nous traitons. C'est pourquoi nous nous sommes engagés à combattre l'intimidation par l'entremise de notre campagne #LIntimidationCNon.
Nos porte-paroles de la campagne, des patients victimes d’intimidation, racontent leur histoire dans l’espoir d’inspirer les autres à dire #LIntimidationCNon et à #VoirLaCapacité.